“Elle a la voix d’un ange, d’une sirène… ou d’une démone tentatrice. Désolé des clichés, mais c’est la pensée qui m’est immédiatement venue en écoutant le premier album de She Owl pour la première fois, et ce dès les premières secondes. Et ce fut pareil après la vingtième fois… L’italienne Jolanda Moletta évoque tout à la fois Karen Vogt (Heligoland) pour sa pureté cristalline étrangement chaude, Liz Harris (Grouper) pour son côté mystérieux et Josephine Foster pour sa capacité à partir d’un coup dans des mondes fantasmagoriques. Elle varie sans cesse les effets et les émotions. Elle touche, inquiète, séduit…”
“Dans la famille “Romantisme en dentelles, femme-piano” je voudrais la cousine italienne de My Brightest Diamond ou Kate Bush. She Owl impose pour la douceur et la sobriété une jolie présence en mode mineur.”